Le trésor de la nature

Suivez sur cette page l' évolution du projet. Livraison prévue pour le mois de juillet !






Esquisse Christophe Doucet, avril 2011



Appel à projet: "Histoire d'iles" Ile nouvelle et estuaire de la gironde

PHM et Pétronille ont été sélectionnées par le conservatoire du littoral et le conseil général de Gironde pour leurs projet d'animation pluridisciplinaire sur l’estuaire Girondine.
L'île nouvelle illustre la maîtrise d'un espace naturel par l'homme. En effet, ce territoire fut jadis un lieu dédié à la viticulture. Son abandon il y a plusieurs années permis un retours à une nature indomptée.

PHM assurera la direction artistique du projet : l'oeuvre sera réalisée par Christophe Doucet.

La renaturalisation d' une partie du site voulu par le Conservatoire du Littoral et le Conseil Général de la Gironde nous laisse entendre que la nature et la culture seraient des notions opposables.
C’est sur cette ambivalence que Christophe Doucet, artiste plasticien et amoureux de la nature, s'interrogera pour son animation sur l'ile nouvelle.

Lien appel à projet cg33 (PDF)

Reportage photo sur l'ile nouvelle, avril 2011















Simon FEYDIEU Home Fades To Fake ( display cabinet version) / 123 x 116 x 78 cm / techniques mixtes /2009 http://www.simon-feydieu.com





Note d'Intention (Echelle 1:1)

Simon FEYDIEU
Caroline MOLUSSON

Avec le soutien de la Galerie Ilka Bree http://www.galerie-ilkabree.com/


Vernissage le Jeudi 24 juin 2010 à partir de 19H00


Au H9 / impasse Maubourguet 33000 BORDEAUX / près du Jardin Public Du 24 juin au 9 juillet 2010 / du mardi au vendredi de 16 h à 19 h et sur rendez-vous / Contact / 06 10 12 00 52 / phm.bordeaux@gmail.com / http://phm-bordeaux.blogspot.com/


Note d’intention (Echelle 1:1) réunit pour la première fois deux jeunes sculpteurs de la galerie Ilka Bree. Leur travail met en exergue la pratique concomitante de modélisation dans le processus de réalisation de volume. Oscillant entre le caractère projectif et les propriétés physiques de ses éléments, cette pratique investit l’interstice qui distingue le travail du maquettiste de celui du bâtisseur.


Cette confrontation vise à mettre en évidence les divergences dans leurs thématiques et moyens mis en œuvre pour déterminer l’échelle définitive d’une sculpture.


Simon Feydieu pose comme postulat que la maquette ne préfigure pas à une réalisation mais s’y incorpore de manière anachronique; aussi bien document, annexe ou prototype, ses volumes figurent un processus dont l’échelle est déterminée par l’espace qui l’accueille et subissent des variations contextuelles. Cumulant les disjonctions mettant à l’épreuve une attitude pragmatique, ces œuvres interrogent leur condition d’exposition et d’accrochage.

Caroline Molusson emploie des matériaux bruts et légers qu’elle manipule, déforme et plie, les confrontant à leur gravité.


Cette économie de moyens lui permet une autonomie physique dans leur manipulation quand la prouesse de l’objet monumental engage le plus souvent une logistique lourde et une assistance. Caroline Molusson, plutôt que restreindre l’ampleur de ses formes, oriente et choisit les matériaux et composants qui permettent cette autonomie élémentaire.